Oui, un tueur implacable… d’infos. Enfin, d’autres infos.
Depuis la décision de fermer crèches et écoles, le 12 mars dernier, Covid-19 écrase absolument toute la concurrence médiatique. Un vrai rouleau compresseur.
L’INA et la plateforme de veille média Tagaday ont étudié le poids de Covid-19, respectivement dans les médias télé (chaînes d’info continue + JT des chaînes généralistes) et dans la presse écrite et web. Leur conclusion ? C’est bien simple, on n’a jamais vu ça.
Covid-19 monopolise entre 70 et 80% du temps d’antenne télé ; la presse écrite et web y consacre 19 000 articles par jour (petits joueurs, les Gilets Jaunes n’avaient généré “que” 6 000 articles par jour au plus fort de la crise). Qui plus est, cette saturation de l’espace médiatique ne semble pas vouloir faiblir dans le temps, au contraire ! Et, cerise sur la gâteau, le public en redemande, avec des audiences phénoménales.
Il serait peut-être temps de déconfiner l’info, non ?
Association d’assurés dédiée à la protection sociale et patrimoniale, AGIPI est concernée par la santé de ses 580 000 adhérents. Grâce au fonds de solidarité qu’elle a mis en place, ceux d’entre eux (titulaires du contrat de Prévoyance CAP) en situation difficile du fait de la pandémie Covid-19 – en priorité les personnels soignants – pourront bénéficier de prises en charge exceptionnelles, au-delà de l’application des conditions générales du contrat. Solidarité oblige.
On en a tous acheté, de ces romans de gare. Polar, épouvante, science-fiction… Leurs points communs ? Un titre racoleur, une pagination limitée et des couvertures souvent ringardes, mais accrocheuses. Derrière ces couvertures, des dessinateurs et peintres de l’ombre, mal payés, produisant au kilomètre. Exemple : ces originaux d’artistes mexicains oubliés, prêts à accueillir le titre du bouquin en tétière. C’est moche, drôle et à la fois tellement poétique !
Il suffit d’arpenter nos villes et villages, de parcourir nos belles routes pour les trouver, ces magnifiques enseignes, massacrant allègrement le français à force de contorsions approximatives et de jeux de mots foireux. Au firmament du genre : la coiffure et la restauration. Un compte Instagram, Putain ils ont osé, s’est dévoué pour la cause, et recense la crème des enseignes vues ci et là. On ne sait pas si ça aide à attirer le chaland, mais en attendant ça fait bien rire !
Jusqu’alors, BienVu relatait – avec admiration – ce que les petites briques Lego permettaient de créer (réponse : tout). Aujourd’hui, on va faire l’article pour une autre belle trouvaille : MakeWay. Un kit de construction modulaire (une vingtaine de pièces magnétiques différentes : pistes, catapultes, bascules, tourniquets, tunnels…) qui vous permet d’imaginer et de réaliser des parcours d’obstacles pour billes sur des surfaces verticales. Absolument génial.
Chez BienVu, nous sommes des fans inconditionnels des écoles d’animation françaises... et du travail créatif de leurs étudiants. Dernier exemple en date, ce petit film de 6 pensionnaires de Supinfocom Valenciennes, qui met en scène un robot gangster aspirant à l’immortalité, celle-ci passant par l’acquisition – a priori violente – d’un cœur humain. C’est sombre (très), trash (très), sans doute inspiré des films noirs américains des années 60. En tout état de cause, une réussite.
Celle-là, il fallait oser la faire : la bougie connectée, une bougie que vous allumez à distance via votre smartphone. Parce que, comprenez bien, utiliser une allumette, c’est risquer de se brûler. Et se brûler, ça fait bobo ! Pour la modique somme de 79 $, vous pouvez donc vous offrir Candletouch, une bougie “combinant tradition et révolution technologique” (40 heures garanties par recharge). Rien que ça. Alors, tenté(e) par une nouvelle “candle-user experience” ?