Quel est le point commun entre Jack Dorsey, le patron de Twitter, qui a vendu 2 M$ son premier tweet publié en 2006, le crypto-artiste Beeple, dont l’œuvre numérique Everydays s’est arrachée plus de 69 M$ et la chanteuse canadienne Grimes qui a cédé sa collection numérique d’œuvres d’art près de 6 M$ ?
Les NFT. Vous ne connaissez pas encore ? Alors il va être temps de vous y mettre, car on risque d’en parler souvent dans les mois et années qui viennent…
Les NFT (non fungible tokens, ou encore nifties) sont des actifs numériques possédant leurs propres caractéristiques – identité, authenticité, traçabilité – et qui ne sont pas interchangeables (contrairement aux bitcoins qui peuvent s’échanger contre d’autres bitcoins). Basés sur la technologie de la blockchain, ces jetons permettent d’acheter tout type de biens, réels comme virtuels, sur des plateformes dédiées. Arts, sport, jeux vidéo : les NFT s’immiscent partout. Leur valeur tient au certificat de propriété qu’ils confèrent à l’objet dématérialisé auquel ils sont attachés.
Blockchain, bitcoin, NFT… On n’a pas fini de s’amuser, dans le monde magique de la DeFi (finance dématérialisée) !
Une contravention à contester ? Un abonnement à résilier ? Un billet de train à se faire rembourser ? Un abonnement gratuit à sécuriser ? Des spams à dénoncer ? Ne vous pourrissez plus la vie : voici DoNotPay, le robot avocat (ou plutôt chatbot de services juridiques) dopé à l’intelligence artificielle qui va tout prendre en charge pour vous, moyennant un abonnement mensuel. Seul bémol : l’appli n’est malheureusement disponible qu’en UK et aux USA…
Dans le monde merveilleux de l’inclusivité, voici enfin une heureuse initiative. Créée par l’ONG américaine Braille Institute, la police de caractères Atkinson Hyperlegible est conçue pour aider les malvoyants à lire plus facilement. Le truc ? Elle se distingue des typos classiques en différenciant les lettres et les chiffres courants difficiles à interpréter ou distinguer les uns des autres, à l’aide de diverses techniques de conception. Bonus : elle est accessible en téléchargement gratuit.
Au début, c’était plutôt marrant, ces réunions sur Zoom ou autre. On revoyait ses collègues, on découvrait leur intérieur, on gardait le contact… Mais les choses se sont gâtées et, les heures de visioconférence s’accumulant, la “Zoom fatigue” apparut. Avec ses dégâts. Ayant identifié 4 grandes causes de mal-être (contact visuel trop long, retour vidéo de son image, mobilité réduite, charge cognitive), l’Université de Stanford donne des pistes pour les combattre. Salvateur.
Dans le domaine cinématographique, l’usage des drones ouvre de fascinantes perspectives. Prenez ce court-métrage du vidéaste américain Jay Christensen, alias JayByrdFilms, plan-séquence bien speed qui nous fait découvrir un bowling de Minneapolis dans toutes ses dimensions. Le drone se faufile, explore l’envers du décor, passe par des trappes… Bluffant. Pour info, il s’agit d’un drone FPV (First Person View), parfait pour procurer une sensation d’immersion.
Le Covid-19 – et les nouvelles mœurs qui en ont découlé – sont décidément une source inépuisable d’inspiration. Le site anglais twometregraphics a eu l’excellente (bien qu’un peu barrée) idée de compiler des photos de toutes les signalisations graphiques que l’on peut trouver dans les espaces urbains rappelant les gestes barrières Covid : affiches, marquages au sol, stickers, barrières, rubans… Un foisonnement créatif qu’on n’aurait pas imaginé sur un tel sujet !
Si vous parlez anglais, vous savez que cette langue, pourtant réputée simple, recèle quelques pièges. Et qu’il existe des mots qui se prononcent de la même façon alors qu’ils signifient des choses bien différentes. Le blog homophonesweakly a la bonne idée de s’atteler à leur recensement. Et c’est très savoureux, car mis en image de façon intelligente : pour chaque cas d’homophonie, un picto et un petit texte explicatif permettent de saisir la subtilité du cas.