Après Sarah Palin en 2008, c’est au tour de l’inénarrable Donald Trump de stimuler l’imagination de ses opposants, et surtout leur créativité en matière digitale.
Voyez le site défouloir trumpdonald.org, grâce auquel vous pouvez administrer un bon coup de trompette au candidat, et ce faisant faire voleter sa célèbre mèche rousse.
Et ces 2 applis, Trump Trump (Apple Store) et Trump Filter (Chrome Webstore), qui vous permettent de supprimer les informations le mentionnant dans les fils d’actualité online.
Ou encore cette appli, Trump2Voldemort (Chrome Webstore), grâce à laquelle le nom de Donald Trump est systématiquement remplacé par "He-Who-Must-Not-Be-Named" (référence à Harry Potter) sur le web.
En fait, la politique, c’est drôle !
La National Highway Traffic Safety Administration, l’autorité chargée de la sécurité routière aux USA, vient de reconnaître que l’intelligence artificielle qui pilote les voitures autonomes Google peut être considérée comme un conducteur à part entière. Un pas de géant ! Même si l’on est encore loin de voir les Google cars sillonner les routes américaines ; seule l’autorisation de la Federal Motor Vehicle Safety Standards faisant autorité.
Qu’elles servent à communiquer, se divertir, voyager ou encore faire des achats, les applis mobiles sont omniprésentes dans nos vies connectées. En témoigne cette infographie dynamique signée par Bonial, qui présente les flux de données “real time” des principales apps. Pour info, ces chiffrent résultent d’un chiffre d’affaires annuel, divisé par 365 (jours), puis 24 (heures), puis 60 (minutes), puis encore 60 (secondes). Et moulinés par un bel algorithme.
On n’écoute jamais assez les besoins et doléances de ces "clients", fussent-ils journalistes -vous savez, cette catégorie protéiforme et souvent incomprise-. Grâce à l’agence de RP américaine PWR, voici un état des lieux complet de leurs attentes. Tout pour maximiser les chances que votre info soit correctement appréhendée, exploitée au mieux... et reprise. Alors, qui a dit que les relations presse étaient compliquées ?
Le groupe AccorHotels vient de se doter d’un « shadow comex ». Un groupe de 12 cadres, hommes et femmes, de moins de 35 ans et de 7 nationalités différentes. Auquel toutes les décisions du comité exécutif (le vrai, composés a minima de quinquas) seront soumises. But du jeu ? Rapprocher les décisions du groupe de la cible et des usages des générations X, Y et Z. Louable... mais la digitalisation et la disruption ne sont-elles qu’une question d’âge ?..
Douleurs et stress au travail : deux tristes réalités, source de souffrance pour les individus et de coûts multiples pour les entreprises. Parmi les moyens de soulager les premières et réduire le second : l’aimantothérapie. Peu connue, cette médecine douce méritait une vitrine à son image. En un temps record, Epicea a conçu et réalisé le site web et la plaquette d’une professionnelle de l’aimantothérapie. Ca détend !